La commission internationale de bassin Congo-Oubangui-Sangha [1] en sigle CICOS est une organe intergouvernementale regroupant quatre pays de l'Afrique centrale notamment la République Démocratique du Congo ( RDC ) , la République du congo [2], la République du Cameroun, et la République centrafricaine au départ de sa création dont le but est celle d'être une pierre angulaire pour la concretisation du projet de coopération solide en matière de navigation, la sécurité avec le code de navigation intérieure ( norme uniforme entre les pays membre) CEMAC/ RDC lancé par les experts de la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale ( CEMAC) avec l'aide de CEA [3]. Son siège est à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo.
En outre l'aspect collaboration et exploitation, elle entreprend aussi la lutte contre la pollution et donc préserver l'environnement de l'ensemble de ce bassin versant.
Le bassin Congo-oubangui-sangha peut être aussi référé au bassin du congo ou encore le bassin hydrographique du fleuve Congo avec une superficie de 3 730 500 km2 et dont les principaux cours d'eau sont Congo, Oubangui et Kasaï. Ce bassin englobe 10 pays africains [4] tels que:
Face à ce potentiel, certains de ces pays riverains en particulier les quatre autres cité si haut, se joignirent pour la réalisation de cette commission avec l'appui de la CEMAC et CEA dont le but initiale était l'uniformisation du régime fluvial en outre la navigation sur le fleuve congo et la sécurité. Car comme la plupart de bassin transfrontalier, la création de cette commission a été au départ une solution pour un ou deux problèmes cruciaux et aux furies et à mesure son domaine de gestion s'était agrandi dans la mesure où l'organisme s'occupe aussi maintenant de la mise en oeuvre des systèmes d'information sur les ressources en eau, des plans d'action ainsi que renforcement de ses propres capacités de gestion.
L'accord attestant la collaboration entre ces quatre pays fut signé le 6 décembre 1996 avec comme deux résolutions majeures telles que:
1.l'instauration d'un régime fluvial uniforme
2. la création de la Commission Internationale du bassin Congo-Oubangui-Sangha (CICOS).
À cette date s'ajoutent certaines dates importantes liées à son évolution et son installation.
DATES | ÉVÉNEMENTS | |||
21 novembre 2003 | Signature de l’Accord Instituant un Régime Fluvial Uniforme et créant la Commission Internationale du Bassin Congo-Oubangui-Sangha avec comme mandat la Promotion de la Navigation Intérieure. | |||
27 novembre 2003 | Nomination du 1er Secrétaire Général de la CICOS, Monsieur Benjamin NDALA. | |||
1er mars 2004 | Debut des activités de la CICOS à Kinshasa, siège de la commission. | |||
24 septembre 2005 | Signature de l’Accord de siège entre la RDC et la CICOS. | |||
22 février 2007 | Signature de l’Additif à l’Accord instituant un Régime Fluvial Uniforme et créant la CICOS par l’élargissement de ses missions à la Gestion Intégrée des Ressources en Eau (GIRE). | |||
13 décembre 2007 | le statut d’observateur de la CICO est attribué à L’Angola. | |||
2 avril 2010 | Nomination du 2ème Secrétaire Général de la CICOS, Monsieur Simon SAKIBEDE. | |||
mars 2010 | la République Gabonaise adhére la CICOS en tant que cinquième Etat membre. |
La commission internationale du bassin Congo-Oubangui-Sangha s'est assigné deux missions principales: [5]
1.la promotion de la navigation intérieure et
2.la gestion intégrée des ressources en eau ( GIRE)
À la promotion de la navigation et à cette gestion inteégrée des resources en eu on voit :
A cela s'ajoute des bateaux de pêche [7] construits en aluminium pour ce cas ci en République du Congo avec une porté e de 10, 70 mètres de long et 3 mètres de large, ces machines ayant une capacité de quatre tonnes de charges, sont le fruit d’un partenariat entre le ministère de la Pêche et la société française, Atlantic pêche et aquaculture ansi que des pirogues. Aussi bien que des navires passager [8].
3. CONGO-HYCOS, Agence Française pour le Développement( AFD), Fond Français pour l’Environnement Mondial (FFEM), Food and Agriculture Organisation (FAO) , Organisation Mondiale de la Météorologie (OMM), Banque Mondiale (BM) et autres [13]
La CICOS est formé de trois organes [14], essentiel: un organe de direction, un organe d'avis et un organe d'exécution [15].
Sa Comité des Ministres, définissant la politique d’aménagement et d’exploitation des cours d’eau du Bassin. Il est composé des Ministres en charge de la navigation intérieure et des Ministres en charge de la gestion des ressources en eau des Etats Membres.
Son Secrétariat Général Dirigé par un Secrétaire Général, le Secrétariat Général est l’organe exécutif de la commission responsable de la mise en oeuvre des prescriptions du Comité des Ministres suivant les missions fixées par les Etats membres. Il est composé de quatre directions, de six services rattachés et de plusieurs experts en navigation fluviale, en gestion transfrontalière des ressources en eau et en environnement. [17]
Le Secrétariat Général est en charge de la Creation des Comités Nationaux de Suivi , des structures localisées dans les Etats membres en vue d’assurer le suivi des activités de la CICOS ainsi que la mise en application et la comformité des décisions prises au seins des Etats membres. Chaque Comité comporte un coordonnateur, celui ci est Membre du Comité de Direction de la CICOS relevant du Ministère de tutelle technique du pays.
Actuellement, la CICOS compte 6 Etats Membres [18] [19] tels que:
PAYS | CAPITAL | SUPERFICIE | PRINCIPAUX AFFLUENTS |
---|---|---|---|
République Démocratique du Congo | Kinshasa | 2.345.410 km2 | Kasaî et Oubagnui |
République du Congo | Brazzaville | 342.000 km2 | Sangha et Oubangui |
République Centrafricaine | Bangui | 622.984 km2 | Sangha et Oubangui |
République du Cameroun | Yaoundé | 475.650 km2 | Sangha |
République d'Angola | Luanda | 1.246.700 km2 | Loange, Kwango se deversant dans le Kasaî |
République Gabonaise | Libreville | 267.667 km2 | Ogooué |
La commission internationale de bassin Congo-Oubangui-Sangha [1] en sigle CICOS est une organe intergouvernementale regroupant quatre pays de l'Afrique centrale notamment la République Démocratique du Congo ( RDC ) , la République du congo [2], la République du Cameroun, et la République centrafricaine au départ de sa création dont le but est celle d'être une pierre angulaire pour la concretisation du projet de coopération solide en matière de navigation, la sécurité avec le code de navigation intérieure ( norme uniforme entre les pays membre) CEMAC/ RDC lancé par les experts de la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale ( CEMAC) avec l'aide de CEA [3]. Son siège est à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo.
En outre l'aspect collaboration et exploitation, elle entreprend aussi la lutte contre la pollution et donc préserver l'environnement de l'ensemble de ce bassin versant.
Le bassin Congo-oubangui-sangha peut être aussi référé au bassin du congo ou encore le bassin hydrographique du fleuve Congo avec une superficie de 3 730 500 km2 et dont les principaux cours d'eau sont Congo, Oubangui et Kasaï. Ce bassin englobe 10 pays africains [4] tels que:
Face à ce potentiel, certains de ces pays riverains en particulier les quatre autres cité si haut, se joignirent pour la réalisation de cette commission avec l'appui de la CEMAC et CEA dont le but initiale était l'uniformisation du régime fluvial en outre la navigation sur le fleuve congo et la sécurité. Car comme la plupart de bassin transfrontalier, la création de cette commission a été au départ une solution pour un ou deux problèmes cruciaux et aux furies et à mesure son domaine de gestion s'était agrandi dans la mesure où l'organisme s'occupe aussi maintenant de la mise en oeuvre des systèmes d'information sur les ressources en eau, des plans d'action ainsi que renforcement de ses propres capacités de gestion.
L'accord attestant la collaboration entre ces quatre pays fut signé le 6 décembre 1996 avec comme deux résolutions majeures telles que:
1.l'instauration d'un régime fluvial uniforme
2. la création de la Commission Internationale du bassin Congo-Oubangui-Sangha (CICOS).
À cette date s'ajoutent certaines dates importantes liées à son évolution et son installation.
DATES | ÉVÉNEMENTS | |||
21 novembre 2003 | Signature de l’Accord Instituant un Régime Fluvial Uniforme et créant la Commission Internationale du Bassin Congo-Oubangui-Sangha avec comme mandat la Promotion de la Navigation Intérieure. | |||
27 novembre 2003 | Nomination du 1er Secrétaire Général de la CICOS, Monsieur Benjamin NDALA. | |||
1er mars 2004 | Debut des activités de la CICOS à Kinshasa, siège de la commission. | |||
24 septembre 2005 | Signature de l’Accord de siège entre la RDC et la CICOS. | |||
22 février 2007 | Signature de l’Additif à l’Accord instituant un Régime Fluvial Uniforme et créant la CICOS par l’élargissement de ses missions à la Gestion Intégrée des Ressources en Eau (GIRE). | |||
13 décembre 2007 | le statut d’observateur de la CICO est attribué à L’Angola. | |||
2 avril 2010 | Nomination du 2ème Secrétaire Général de la CICOS, Monsieur Simon SAKIBEDE. | |||
mars 2010 | la République Gabonaise adhére la CICOS en tant que cinquième Etat membre. |
La commission internationale du bassin Congo-Oubangui-Sangha s'est assigné deux missions principales: [5]
1.la promotion de la navigation intérieure et
2.la gestion intégrée des ressources en eau ( GIRE)
À la promotion de la navigation et à cette gestion inteégrée des resources en eu on voit :
A cela s'ajoute des bateaux de pêche [7] construits en aluminium pour ce cas ci en République du Congo avec une porté e de 10, 70 mètres de long et 3 mètres de large, ces machines ayant une capacité de quatre tonnes de charges, sont le fruit d’un partenariat entre le ministère de la Pêche et la société française, Atlantic pêche et aquaculture ansi que des pirogues. Aussi bien que des navires passager [8].
3. CONGO-HYCOS, Agence Française pour le Développement( AFD), Fond Français pour l’Environnement Mondial (FFEM), Food and Agriculture Organisation (FAO) , Organisation Mondiale de la Météorologie (OMM), Banque Mondiale (BM) et autres [13]
La CICOS est formé de trois organes [14], essentiel: un organe de direction, un organe d'avis et un organe d'exécution [15].
Sa Comité des Ministres, définissant la politique d’aménagement et d’exploitation des cours d’eau du Bassin. Il est composé des Ministres en charge de la navigation intérieure et des Ministres en charge de la gestion des ressources en eau des Etats Membres.
Son Secrétariat Général Dirigé par un Secrétaire Général, le Secrétariat Général est l’organe exécutif de la commission responsable de la mise en oeuvre des prescriptions du Comité des Ministres suivant les missions fixées par les Etats membres. Il est composé de quatre directions, de six services rattachés et de plusieurs experts en navigation fluviale, en gestion transfrontalière des ressources en eau et en environnement. [17]
Le Secrétariat Général est en charge de la Creation des Comités Nationaux de Suivi , des structures localisées dans les Etats membres en vue d’assurer le suivi des activités de la CICOS ainsi que la mise en application et la comformité des décisions prises au seins des Etats membres. Chaque Comité comporte un coordonnateur, celui ci est Membre du Comité de Direction de la CICOS relevant du Ministère de tutelle technique du pays.
Actuellement, la CICOS compte 6 Etats Membres [18] [19] tels que:
PAYS | CAPITAL | SUPERFICIE | PRINCIPAUX AFFLUENTS |
---|---|---|---|
République Démocratique du Congo | Kinshasa | 2.345.410 km2 | Kasaî et Oubagnui |
République du Congo | Brazzaville | 342.000 km2 | Sangha et Oubangui |
République Centrafricaine | Bangui | 622.984 km2 | Sangha et Oubangui |
République du Cameroun | Yaoundé | 475.650 km2 | Sangha |
République d'Angola | Luanda | 1.246.700 km2 | Loange, Kwango se deversant dans le Kasaî |
République Gabonaise | Libreville | 267.667 km2 | Ogooué |